Ce vendredi, nous vous annoncions la rupture de l'accord liant Didier Calmels à Schmidt Peterson Motorsports en vue de l'édition 2018 d'Indy 500. Rapidement, le Français a apporté sa version des faits dans les médias hexagonaux, estimant que le team américain a tout fait pour casser le contrat, étant sur le point d'annoncer un programme plus copieux avec d'autres partenaires, et devant donc disposer de la monoplace initialement prévue pour Tristan Gommendy.
Dans le mille, puisque quelques instants plus tard, Schmidt Peterson Motorsports et Michael Shank Racing annonçaient de concert l'engagement du Britannique Jack Harvey, ex-Champion d'Angleterre de F3, pour un programme partiel comprenant St Petersburg, Long Beach, Indy 500 et Sonoma. On se souvient qu'en fin de saison 2017, Harvey avait déjà remplacé Mikhail Aleshin dans les rangs de Schmidt Peterson.
Pas de doute, sur ce coup-là, le team américain a joué un étrange double jeu, s'assurant un accord pour Indy 500 avant de le remettre en question au profit d'un autre, plus juteux... (Vincent Franssen)